Poème sur une place italienne appelée de mes voeux

Le vent [est] un passé invisible à l’œil nu.
 
Quand suffit aujourd'hui,
la terrasse rend vacant le mot qui nous incombe,
celui qui dessine la lumière des fontaines
retenant l'approbation de vivre
au rythme ouvert des gerbes d'eau,
même violentes.

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